Les Décodeurs, Y. Hammoud, Hist. d'Univ., Les Echos, EducPro, Monde Campus, VsNsIls, the Conversation (15 et +/8/16) : Universités : pourquoi le classement de Shanghaï n’est pas un exercice sérieux. MàJ 24/8

Publié le par SLU Orléans

Créé en 2003 par l’université Jiao Tong, le « classement académique des universités mondiales », publié chaque année, est une liste des 500 « meilleures » universités mondiales, comprenant un classement ordonné des cent plus performantes.

Comme vous avez peut-être pu le lire ailleurs, la France compte, comme l’an dernier, vingt-deux de ses universités dans le classement complet, mais n’a plus que trois universités présentes dans le top 100, là où elle en comptait quatre l’an dernier. Malgré la large couverture médiatique dont il bénéficie - le sujet provoque souvent l’intérêt des lecteurs - la façon dont ce classement est établi souffre de nombreux problèmes méthodologiques qui en limitent grandement la pertinence. Lire la suite ICI

Yassir Hammoud Shanghaï 2016 : pour progresser, épargnons le temps des chercheurs !

Chaque 15 août, dans la torpeur de l’été, le classement de Shanghaï fait l’objet de commentaires contradictoires. Pour les uns (surtout quand les résultats sont mauvais), il n’est qu’un simple indicateur, étalon par nature contestable, valorisant principalement les critères de performance de la recherche et de rayonnement. Pour d’autres, le classement est utile pour se positionner vis-à-vis de la concurrence internationale et adapter la stratégie des établissements, en espérant “grappiller” quelques places l’année suivante. Lire la suite ICI

Histoires d'Universités : 2 articles
Shanghai : Strasbourg recule

Le marronnier du 15 août : le classement de Shanghai. Les épisodes précédents, publiés par ce blog depuis 2009, font part des nombreuses critiques qui portent sur ce classement international pionnier et plus largement sur tous les classements internationaux. Lire la suite ICI

Shanghai : mission et rapport !

Communiqué du Secrétariat d’État (17 août 2016). Classement de Shanghai 2016 : la France 6e, le nombre d’établissements français classés reste stable

… « Au regard du rôle joué par ces classements et au moment où notre pays consent un effort budgétaire sans précèdent (+ 850 millions d’euros au budget 2017 et 5,9 milliards du programme d’investissement d’avenir), il importe de doter notre enseignement supérieur et notre recherche de tous les outils juridiques et techniques pour y améliorer et renforcer nos positions. Lire la suite ICI

Les Echos : Classement de Shanghai : Strasbourg fait son entrée dans le top 100

L'université de Strasbourg grimpe à la 97 e place. Ce qui n'empêche pas son président, Alain Beretz, d'être critique sur le classement. Lire la suite ICI

EducPro (15/8/16) : Classement de Shanghai 2016 : la France 6e par le nombre d’établissements

Le classement de Shanghai a publié lundi 15 août son édition 2016. En bonne position, la France place trois établissements dans le top 100 et 22 dans le top 500 d’un ranking fortement - et traditionnellement - dominé par les universités américaines et britanniques. Lire la suite ICI

Monde Campus : 2 articles
Le classement de Shanghaï moins « important » mais toujours aussi commenté

Pour sa quatorzième édition, publiée lundi 15 août, le classement de Shanghaï, palmarès mondial des universités, sera une nouvelle fois scruté de près. Si le cru 2016 ne rebat pas les cartes internationales, les observateurs pointilleux noteront toutefois que la France descend d’une marche. Elle conserve certes vingt-deux établissements dans le top 500 mondial, mais passe de la 5e à la 6e place (en nombre d’établissements distingués), derrière les Etats-Unis (137 établissements), la Chine (41), l’Allemagne (38), le Royaume-Uni (37) et l’Australie (23). Lire la suite ICI

Universités : les alternatives au classement de Shanghaï

Initiative européenne, le classement U-Multirank a été lancé face au risque de voir le classement de Shanghaï – le classement des 500 meilleures universités du monde établi par le cabinet indépendant Shanghai Ranking Consultancy – marginaliser les établissements du Vieux Continent. Depuis 2014, ce classement tente de prendre en compte de nombreux critères, et pas seulement la recherche comme celui de Shanghaï : « Compte tenu des spécificités de chaque pays, il permet de valoriser les cursus en fonction des aspirations des étudiants », explique Ghislaine Filliatreau, ancienne directrice de l’Observatoire des sciences et techniques (OST) et membre de l’International Advisory Board (conseil consultatif international) du classement de Shanghaï. Lire la suite ICI

VsNsIls : Les universités américaines dominent le classement de Shanghai, 3 Françaises dans le Top 100

Les universités américaines continuent de caracoler en tête du classement de Shanghai publié lundi, tandis que la France place trois universités dans le Top 100 où les Chinois entrent pour la première fois.

Pour la 14e année consécutive, Harvard arrive en 2016 en tête de ce classement des 500 meilleures universités au monde réalisé par le cabinet indépendant Shanghai Ranking Consultancy. Lire la suite ICI

The Conversation (24/7/16) : Quels usages des classements universitaires ?

De nombreux classements d’universités sont aujourd’hui établis par des journaux spécialisés ou des institutions académiques. Les classements de Shanghai, du Times Higher Education, de QS, du Financial Times, de RePeC, de l’Etudiant… parmi tant d’autres, informent les futurs étudiants, leurs parents, les établissements d’éducation supérieure, le personnel universitaire et les autorités publiques.

Mais restons prudents : ces classements peuvent induire en erreur, du fait de la nature même des données qu’ils utilisent et des traitements qu’ils leur appliquent. Lire la suite ICI

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article