Le Monde (27/8/10), Le Parisien (26/8/10) et 20 min. + Ouest France (30/8/10), sur la rentrée...

Le Monde : Education nationale : "la saignée n'a jamais été un bon remède". Selon Bernadette Groison secrétaire générale de la FSU, "l'école est aujourd'hui malade du traitement qu'on lui inflige". Le ministre de l'éducation déclare que les 16 000 postes à supprimer en 2011 "seront trouvés sans problème" et ce au nom même de "l'efficacité". La démagogie le dispute au cynisme. Ces suppressions s'ajoutent aux dizaines de milliers déjà effectuées ces dernières années. Comment alors refuser de voir, année après année, la dégradation organisée du système éducatif ? Lire la suite ICI.

20 min. : Les nouveaux profs passent l'examen de rentrée. La réforme de la formation des enseignants est mise en place ces prochains jours... Jeudi matin, Lucile Ritzenthaler, 25 ans, titulaire du Capes en sciences de la vie et de la terre depuis juin, fera sa première rentrée au collège Pissaro de La Varenne-Saint-Hilaire (Val-de-Marne). «Je n'ai jamais enseigné devant une classe. Ce sera donc un saut dans l'inconnu», confie la jeune femme, qui sera épaulée les premiers temps, par un prof qui fera office de tuteur. Lire la suite ICI

Màj 22h20 : Le Parisien : Les nouveaux profs stressent avant la rentrée. L’académie de Créteil a tenté de rassurer, hier, les 887 nouveaux profs qui vont enseigner à plein temps, sans formation préalable.

Avec leurs baskets un peu craquées et leurs cheveux en bataille, beaucoup ont gardé des airs d’étudiants nonchalants, malgré le cartable de cuir flambant neuf qui crisse au bout de leur bras. Il leur reste six jours pour traverser le miroir : jeudi prochain, 887 nouvelles recrues de l’Education nationale, dont 15% de provinciaux fraîchement débarqués, feront leur premier cours devant les collégiens et lycéens de l’académie de Créteil. Lire la suite ICI

Ouest France : Les nouveaux profs vont apprendre sur le tas. Ils sont 8 500 nouveaux enseignants. Ils seront devant une classe, jeudi, sans aucune formation préalable.Ils vont apprendre avec des collègues expérimentés.

« C'est une situation inédite », s'exclame Emmanuel Mercier, en charge de la formation des enseignants au Snes-FSU, le principal syndicat des enseignants de collège et de lycée. Réforme de la formation des profs oblige, les 8 500 nouveaux enseignants (professeurs des écoles, des collèges et des lycées) se retrouveront devant des élèves, jeudi matin, sans avoir reçu la moindre formation après leur réussite au concours. Ils apprendront avec des collègues expérimentés, appelés « tuteurs ». Lire la suite ICI