Rue 89, Le Monde, Libé, le figaro (18/10/10) : essence et routiers

Rue 89 - Pénuries d'essence : une cellule d'urgence face au foutoir. Il n'y a pas de pénurie, jure le gouvernement, mais le nombre de stations essence à vide ne cesse de grimper. Brice Hortefeux a activé ce lundi à 14h le centre interministériel de crise pour assurer « la pérennité du ravitaillement en carburant » dans le pays. Dans les Ardennes et la Marne, les préfets ont demandé aux automobilistes de « limiter leurs déplacements dans la mesure du possible ». Lire la suite ICI

Libé : Pénurie de carburant: le gouvernement ouvre un centre de crise. Le nombre des stations-service en panne sèche, du fait du conflit sur la réforme des retraites, continue de croître et a poussé le gouvernement à activer lundi un centre interministériel de crise pour assurer «la pérennité du ravitaillement en carburant» dans l’Hexagone.

Le manque d’essence à la pompe affecte particulièrement le réseau de la grande distribution ainsi que les stations rurales.

L’activation lundi à 14H00 du centre interministériel de crise a été annoncée par le ministère de l’Intérieur après une réunion à l’Elysée, présidée par Nicolas Sarkozy, au cours de laquelle il a été «essentiellement» question «d’approvisionnement en carburant», selon un des ministres y ayant pris part. Lire la suite ICI

Libé : Les routiers passent à l'offensive. Depuis tôt ce matin, ils multiplient les opérations: blocages de dépôts pétroliers, opérations escargot... Le renfort des routiers dans le conflit sur les retraites fait monter d'un cran la tension alors que l'examen de la réforme se poursuit au Sénat.

Comme ils l'avaient annoncé, les routiers sont entrés dans le conflit dans la nuit de dimanche à lundi, ciblant souvent les dépôts de carburants, parfois en lien avec les cheminots et d'autres secteurs professionnels. Lire la suite ICI

Le Monde : Raffineries, transports : l'état des perturbations. Les raffineries toujours en grève, des stations-services touchées. Les douze raffineries françaises ont reconduit la grève, lundi 18 octobre, selon la CGT. Le spectre d'une pénurie d'essence en France plane toujours. Dans le même temps, des dépôts et terminaux pétroliers ont été bloqués. Le gouvernement a répété que le pays dispose de stocks suffisants pour éviter une pénurie. Le premier ministre, François Fillon, a assuré qu'il "ne laisserait pas l'économie française étouffer par un blocage de l'approvisionnement en carburant". Un responsable de la CGT, cité par Reuters, a assuré que tant que le gouvernement ne bougera pas, on ne bougera pas". Lire la suite ICI

le figaro Des automobilistes appelés à limiter leurs déplacements. Les préfets des Ardennes et de la Marne ont demandé aux conducteurs de ces départements de moins circuler. De nombreuses stations-service sont en rupture de carburant.

Les appels répétés à ne pas céder à la panique n'ont manifestement pas suffit. Malgré les communiqués du gouvernement qui se voulait rassurant, la psychose de la pénurie d'essence est bien réelle. Deux préfets, de la Marne et des Ardennes, viennent d'ailleurs de lancer un appel à leur administrés pour qu'ils limitent «leurs déplacements dans la mesure du possible». Lire la suite ICI